Pour débuter ce week-end thématique consacré à l’Inde, j’ai décidé (sur une idée originale « imposée » par Eva 🙂 ) de vous parler de cinéma en vous présentant des films indiens qui pourraient vous plaire.
Pour débuter ce week-end thématique consacré à l’Inde, j’ai décidé (sur une idée originale « imposée » par Eva 🙂 ) de vous parler de cinéma en vous présentant des films indiens qui pourraient vous plaire.
Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler d’un film kazakh. Certes, les longs-métrages venant de ce pays ne sont pas très nombreux, mais il n’en reste pas moins que les réalisations venant du Kazakhstan franchissent de temps en temps nos frontières et parmi toutes celles que j’ai vues (en même temps cela ne fait que cinq) la plupart sont excellentes. En préparant ce billet, j’ai même appris que Paris a accueilli, en septembre dernier, le premier festival du film du Kazakhstan.
Il y a quinze jours, je vous ai parlé d’un livre japonais. Aujourd’hui, nous restons dans le même pays, sauf que cette fois-ci il va être question d’un film (L’Héritage des 500 000) réalisé en 1963, par Toshiro Mifune.
Je reviens vers vous avec un film japonais. « Harmonium », de Koji Fukuda, a été réalisé en 2016. D’ailleurs, je découvre le réalisateur avec ce long-métrage, car je suis complètement passé à côté de ses deux premiers films, mais je vais très rapidement réparer cette erreur.
Décidément, j’aime beaucoup le cinéma iranien, car je viens de nouveau de faire une très belle découverte. Le film en question est sorti en 1987, c’est le premier volet d’une trilogie qui me donne très envie de découvrir la suite, mais aussi, un peu plus, un réalisateur que je ne connais qu’avec ses réalisations les plus récentes.
La dernière fois je vous ai parlé d’un film espagnol et cette fois-ci nous partons en Iran. Je connais très peu le cinéma iranien, mais je dois dire qu’à chaque fois qu’une de leurs réalisations franchit nos frontières, je suis agréablement surpris. Il y a certes quelques ratés, mais la plupart du temps j’aime les films que les Iraniens nous proposent, car à travers des sujets divers et variés nous apprenons à mieux connaître ce pays et cette société si éloignée de la nôtre…
Comme pour la littérature japonaise, cela fait un certain temps déjà que je ne vous ai pas parlé de films japonais. Il me semble que cela vous a manqué un peu. Non ? Toujours est-il que j’espère vous faire plaisir avec ce billet sur un film japonais des années 60. Il s’agit encore une fois d’un classique qui mérite d’être découvert ou bien redécouvert. Assez de bla-bla, venons-en à l’essentiel…